[…] le problème n’est pas tellement l’éthique consumériste en tant que telle, mais le fait qu’elle est devenue – par défaut – une des dernières expériences significatives de notre existence. Il y a dans le fait d’acheter un nouveau produit, une nouvelle chemise ou un nouveau disque, et de les rapporter chez soi, une tangibilité et une satisfaction qui impliquent que le shopping devient pour les individus une confirmation de leur capacité de produire des effets dans le monde.
– The Cultural Contradictions of Consumerism